Les « égarés » :
Se sont de petits groupes de gens qui ont survécues aux « premiers assauts » ils ont réussit à s’organiser et à résister aux attaquent des zombies. Généralement bien organisé, ils essaient de trouver un remède à la contamination. Malheureusement, le manque de moyens et de scientifiques compétents limite en général leurs actions à trouver une solution au virus.
Les « solistes » :
A moins de s’être retrouvé seul et de vouloir le rester, les solistes sont extrêmement rare, pour ainsi dire, on en voit pratiquement jamais, on les considère un peu comme des héros de légendes, des personnages hauts en couleur qui travailler en solo on les surnomme aussi « les cinglés ».
Les Gangs :
« Peut importe la couleur, l’extrémisme et la connerie sont bien universel » (de moi)
On y trouve de tout, Lascars, Skinheads, pillards, motards… Des personnes sans scrupule profitant de la décadence du monde pour assouvir leur loi et leur règne, ils essaient de trouver de petits groupes d’égarés et de les soumettre, puis ils s’en servent comme esclaves.
Il existe plusieurs centaines de gangs en France, dont la moitié en région parisienne. Je ne vous dis même pas dans le reste du monde…
Le banditisme tel qu’on l’entend dans le monde de survival a atteint son apogée en termes d'hommes et de débouchés, évoluant partout dans le monde.
Le trafic de nourritures, stupéfiants, de véhicules, d'armes, de denrées divers et attaques à main armée et leurs lots quotidiens.
Pour l'essentiel, la carte des hauts lieux criminels correspond à celle de la densité de population. Ce sont les centres urbains et leurs agglomérations. Les banlieues les plus malfamées. Cette criminalité se diffuse jusque dans les plus profondes provinces françaises.
Les casseurs, les cambrioleurs, les braqueurs se servent de leurs lieux de résidences comme de refuges et ils se sont organisez d’autant mieux suite à la chute des gouvernements, leurs slogan « un pour tous, tout pour moi. »
Ils sont armer et organiser ayant, après l'éclatement du bloc de l'Est, eu accès plus facilement à des armes lourdes : des fusils d'assaut, des grenades, des explosifs... Ils ont donc acquis l'argent et les outils pour monter en gamme et en force.
Les garçons d'une trentaine d'années sont les caïds. Ils appartiennent à la deuxième génération, âgée aujourd'hui de 25 à 35 ans. Ils ont mis la main dans les trafics, les petites mains ont entre 10 et 15 ans pour guetter l'arrivée de leurs proies. Deuxième strate, 15-22 ans, ils sont revendeurs, vers 25 ans, ils basculent dans la dernière tranche des vrais caïds qui rejoignent la grande criminalité. Ils ont une hiérarchie pyramidale, avec un chef, des lieutenants et des hommes de main. Régnants en seigneurs féodaux sur leur territoire.
Ils 'attaqueront avec de gros risques si il le faut et n'hésitent pas à faire preuve d'une violence extrême, ils ont la gâchette facile, sont polyvalents et se livrent à toutes les bassesses, du vol avec violence en passant par le meurtre et aux trafics divers cherchant sans arrêt de nouveaux créneaux afin de permettre leur survie et leur plaisir. Ils sont motivés par le gain. Ils ne pensent qu'à faire du business et à leur survie.
Les vols à main armée, les braquages, le transport de fonds, les vols de marchandises sont sans limites.
Les Motards
Tout commence au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, en Californie, lorsque les anciens combattants rentrés chez eux cherchent à retrouver le grand frisson au guidon de leurs Harleys ou de leurs Indians. On assiste à la création des Booze Fighters, des Market Street Commandos et des Pobos , elles sont les premières bandes de motards à affirmer haut et fort leur volonté de vivre en marge de la société établie. Bastons et beuveries sont monnaie courante. Mais jusqu'à la fin des 60 les activités de ces bandes ne sont pas encore centrées sur le crime organisé. C'est au cours des 70 que le phénomène se durcit, pour mieux se "professionnaliser" dans les années 80 et jusqu'à aujourd'hui. Les bandes s'emparent rapidement d'une activité florissante qu'elles ne lâcheront plus : le marché ô combien lucratif de la drogue.
Comme tous les gangs, ils entretiennent des codes vestimentaires, blouson brodés a l’effigie du gang et de la ville, des brassards, T-shirt. Les gangs sont composés de "chapitres" (association) un peu disposés dans le monde.
Ils ont des bons contacts avec le milieu du crime mais ne se disent pas raciste malgré leurs alliances aux aryens.
Voici quelques gangs de motards pour votre inspiration :
- Les Outlaws
- Les hells Angels
- Les Bandidos
- Les Pagans comp
Leur grande mobilité, leur polyvalence et leur rage leur a permis de survivre à la chute du monde moderne le trafic de stupéfiant fonctionnent encore bienmais on en compte de plus en plus à cheval ! Le carburant ce fait rare...
Les SkinHeads
La mouvance des skinheads est profondément divisée et hétéroclite, difficile à départager, d'autant plus que les codes vestimentaires sont similaires malgré des tendances politiques très différentes.
Présents partout dans le monde ils refusent en général toute récupération politique et rejettent toute aliénation à une idéologie politique ou syndicale. Toutefois, cela ne signifie pas que ces skinheads sont dépourvus de conscience politique. Bien au contraire. En réalité, ces derniers n'ont tout simplement pas envie de mélanger musique et culture skinhead avec politique. Souvent patriotes, les skinheads non-politisés ne sont pas pour autant unis. Ceci s'explique par des sensibilités politiques hétéroclites.
Au gauche, l’origine…
Trojan skinheads : Ils perpétuent l'esprit de 1969, fans de reggae, de soul, de rocksteady et de ska, , ils ne mêlent guère musique et politique mais affichent un antiracisme et un antifascisme sincères et revendiquent leur appartenance à la working class (classe ouvrière). Ils sont, au sens historique, les vrais continuateurs de la première vague skinhead.
Skinheads chrétiens : Il ne faut pas les confondre avec les skinheads identitaires ou les jeunes nationalistes, proches des milieux intégristes. Si le discours de ces punks et skins chrétiens sonne parfois conformiste, voire réactionnaire, leur positionnement est ouvertement antiraciste, antifasciste et working class. A suivre...
Redskins (Peaux rouges) : skinheads communistes. À l'origine ce ne sont pas des skinheads mais des fans d'un groupe de soul anglais des années 1970, The Redskins rapproché du style skinhead originel en conservant quelques particularismes : bomber retourné côté doublure orange, lacets rouges, insignes communistes divers... Dans les années 1980 en France les redskins ont combattu les boneheads sur leur propre terrain, la rue (époque des "chasseurs de skins [nazis]"). Certains redskins ont un temps constitué le service d'ordre des concerts des Béruriers Noirs.
SHARP Skinheads : Skinheads Against Racial Prejudice (skinheads contre les agressions raciales) ou Skinheads Against Racist People (skinheads contre les racistes). Le mouvement est apparu à New York vers 1980 puis a été acclimaté en Europe par les membres du groupe britannique The Oppressed. Cherchant à réaffirmer le lien entre la culture skinhead et la classe ouvrière (working class), donc ses valeurs : fraternité, solidarité, lutte sociale, rejet viscéral de toute forme de racisme ou de fascisme... Le logo Sharp reprend le casque de guerrier grec du label Trojan.
RASH Skinheads : Red and Anarchist Skinheads. Le RASH, surtout européen, regroupe depuis les années 1990 d'anciens redskins de la première vague et de nouveaux skinheads engagés à l'extrème-gauche. Les membres considèrent leur appartenance au mouvement skinhead comme un complément de leur engagement militant. Le positionnement à l'ultra-gauche des skinheads rash ne fait cependant pas l'unanimité au sein de la scène skinhead antiraciste et antifascsite et certains les renvoient dos à dos avec les néonazis.
Et au milieu qu’est ce qui ce passe ?
Les hooligans :
Beaucoup de skins nationalistes se recrutent dans les rangs des supporters-hooligans. Mais il est abusif d'affirmer que tous les supporters de football sont forcément des hooligans, ni ceux-ci des séides de l'extrême-droite! Le football faisait partie de la culture skinhead d'origine, sans coloration politique. Les hooligans sont ne sont pas forcément nationalistes ni racistes. En fait le terme est passe-partout.
Il y a aussi des skinheads apolitiques :
Il considèrent le fait de n'être ni fascistes, ni racistes comme quelque chose de naturel et, qu'en temps que skinheads, ils n'ont pas à se justifier continuellement. On les appelle sobrement les apos et ils sont au centre d'une grande controverse. Leur philosophie se résumerait aux trois B du hooligan : « bière, baston, baise ». Pour certains skineads apolitiques le mouvement doit rester ce qu'il était au départ : une mode de jeunes voyous qui rejettent tout engagement politique à gauche comme à droite. Les skinheads sharp et rash les suspectent de sympathiser avec les boneheads au nom d'une communauté skinhead. Si certains ont effectivement des relations douteuses, la plupart n'ont tout simplement pas envie de mélanger musique et militantisme politique.
Et Très à droite ?…
Les lacets blancs sont-ils une marque d'appartenance à l'extrême droite ? A priori non, mais certains skinheads nationalistes en ont fait un signe identitaire. De nombreux punks et skinheads ni fascistes ni racistes ont porté des lacets blancs pour l'esthétique. Mais aujourd'hui ces-derniers représentent pour beaucoup l'idéologie raciste, le white power (« le pouvoir à la race blanche »). Dans certains groupes musicaux, les lacets blancs sont le signe distinctif de ceux qui ont déjà tué. Le port des lacets blancs chez des punks ou skinheads non racistes apparaît généralement comme une provocation d'un goût douteux.
Skinheads nationalistes et identitaires :
le terme désigne une foule d'individus qui ne s'affichent pas radicalement adeptes de l'hitlérisme mais appartiennent aux différents courants de l'extrême droite, par exemple l'intégrisme catholique. On trouve ainsi des skins nationalistes antisémites et pro-Palestiniens (certains gravitent autour du MNR, d'Unité Radicale et de certains mouvements pro-palestiniens). Ceux-là vont jusqu'à prendre le parti des islamistes pour s'opposer aux Juifs et à Israël dont ils ont la haine chevillée au corps. Ils brandissent le célèbrissime faux "Le Protocole des Sages de Sion" pour étayer leur antisémitisme. À l'inverse d'autres sont anti-arabes et pro-israéliens, c'est-à-dire pro-sionistes! Ces derniers considèrent Israël comme l'avant-garde de l'Occident contre le monde arabo-musulman dont il faudrait à tout prix se défendre. Les membres du GUD (Groupe Union Défense), souvent recruté sur les bancs des facultés de droit, se rattachent à cette mouvance. Plutôt que skinheads, terme connoté voyou, beaucoup se font appeler "jeunes nationalistes".
Boneheads :
Skinheads nationalistes ouvertement nazis. On parle aussi de naziskins. Ils sont très actifs et regroupés dans diverses organisations telles Blood and Honour, Hammerskins ou Combat 18 (groupe terroriste clandestin, ils sont organisés en réseau avec d'autres organisations d'extrême-droite comme le Ku Klux Klan. Le look bonehead se distingue un peu du look skinhead originel : paramilitaire, les cheveux sont généralement rasés à blanc. Les insignes sont la croix gammée, les écussons de la LVF ou de la division Das Reich, la croix celtique, les galons de la Wehrmacht ou de la SS... La symbolique germanique, viking ou celte est souvent utilisée par les bonheads qui marquent ainsi leur rejet des valeurs judéo-chrétiennes et prônent un retour au paganisme indo-européen. Les bonheads se reconnaissent grâce au sigle NS (national-socialiste, c'est à dire nazi), généralement accolé au nombre 88 (pour HH, huitième lettre de l'alphabet et initiales de "Heil Hitler").
En résumé ses groupes sont toujours présent dans le monde de Survival, Ils sont organisés peuvent être sociable ou non mais chercheront souvent à commercer avec les égarées ou les différents milieux criminels qui les embauchent sous différentes conditions.
Les religieux :
On assiste à une recrudescence de la religion suite à la contagion les morts vivant étant vues comme un signe avant coureur de l’apocalypse, la plupart des gangs comptent plusieurs prêtre dans leurs rangs, de nombreux sont converties mais une bonne partie continue a ne croire qu’en leur rage de vivre. L’église chrétienne, coranique, protestante etc… existe toujours mais de manière assé disparate avec des prêtres ayant souvent beaucoup d’influence sur leurs disciples.
Les sectes :
Le mot secte désigne un ensemble de personnes partageant une même doctrine philosophique, religieuse, ou un groupe de fidèles s’étant détachés de l'enseignement officiel d'une religion créant ainsi leur propre doctrine. Elle désigne un groupe ou une organisation, ayant en général une symbolique religieuse aux comportements jugés obscurs ou malveillants par le reste de la société. Bridant les libertés individuelles de leurs fidèles en les manipulant de manière psychologique et mentale, s'appropriant leurs biens et les maintenant sous contrôle. Il est courant de voir des chefs de gang ayant pour bras droit un prêtre ou que ce soit tout bonnement le prêtre le chef de gang.
L’armé :
Les forces armées représentaient les différentes organisations et moyens militaires de l’État et se consacrait à la mise en œuvre de sa politique de défense. Sa mission première était d'assurer la sécurité de l'État, la défense de ses intérêts et la protection de ses populations et territoires vis-à-vis d'une menace extérieure, elle participait également à la mise en œuvre d'autres politiques publiques : politique étrangère, sécurité intérieure, sécurité civile, santé publique, sauvegarde maritime, protection de l'environnement...
Pris dans le maelstrom de violence et de guerre civile engendrée par l’épidémie a fini par mettre à mal et à anéantir l’armée telle que l’on peut l’entendre. Malgré des tentatives courageuses d’extermination de la horde de morts vivants de petit groupes se sont organiser en milices armées et compétentes, ils sont armés et dangereux, leur force, des vétérans compétents entrainez à la survie dans de nombreuses situations. Ils ont créés de nombreux camps fortifiés et cherchent un moyen à une contre offensive…
L'armée pour une fois n'est pas dans le coup. Mais elle a pris ses dispositions, elle fait des tests à grande échelle sur de nombreux « cobayes » et essai de tirer le meilleur, comme le pire du vaccin, elle fait des expériences sur de nombreuses personnes et de nombreux zombies ayant différents groupes sanguins. L’armée essai de comprendre comment leur rendre leur humanité, si c'est encore possible aux sujets les plus réceptifs, mais qui sont aussi les plus agressifs. D’autres tests bien plus inquiétants sont aussi en cour.
L’armée recrute encore et toujours, elle offrira de la nourriture et le couvert après une prise de sang et quelques analyses et bien plus si nos aventuriers décident de s’engager.
Si vous êtes d’un groupe sanguin rare, malheur à vous, vous risquez de vous faire embarqué de force et de subir de nombreuses expériences plus désagréables les une que les autres…
Les fermiers :
Autrefois de paisible travailleurs s’occupant de leurs champs et de leur bétail ils se sont regroupez en communauté, ils possèdent une organisation souder et puissante, ils ont des véhicules, du bétail, de la nourriture,. Ils sont rompues à une vie de labeur et à la chasse, ils possèdent des carabines et des fusils, des petits malins se sont déjà frottés à eu mais qui si frotte si pique ! Les moissonneuses batteuses ont été mises à profit mais plus seulement pour faire les blés, les meutes de zombies l’on vite comprit, quant aux gangs ils ont de mainte foi été repoussés ! Les corps de fermes ont été fortifiés les gangs appellent ces bâtiments les manoirs ou forteresses. Ils ne rechigneront pas à accueillir des âmes perdue afin de faire du troc, ils échangeront en général du carburant, des munitions, de l’alcool et des cigarettes contre de la nourriture.
Les « solistes » :
A moins de s’être retrouvé seul et de vouloir le rester, les solistes sont extrêmement rare, pour ainsi dire, on en voit pratiquement jamais, on les considère un peu comme des héros de légendes, des personnages hauts en couleur qui travailler en solo on les surnomme aussi « les cinglés ».
Les Gangs :
« Peut importe la couleur, l’extrémisme et la connerie sont bien universel » (de moi)
On y trouve de tout, Lascars, Skinheads, pillards, motards… Des personnes sans scrupule profitant de la décadence du monde pour assouvir leur loi et leur règne, ils essaient de trouver de petits groupes d’égarés et de les soumettre, puis ils s’en servent comme esclaves.
Il existe plusieurs centaines de gangs en France, dont la moitié en région parisienne. Je ne vous dis même pas dans le reste du monde…
Le banditisme tel qu’on l’entend dans le monde de survival a atteint son apogée en termes d'hommes et de débouchés, évoluant partout dans le monde.
Le trafic de nourritures, stupéfiants, de véhicules, d'armes, de denrées divers et attaques à main armée et leurs lots quotidiens.
Pour l'essentiel, la carte des hauts lieux criminels correspond à celle de la densité de population. Ce sont les centres urbains et leurs agglomérations. Les banlieues les plus malfamées. Cette criminalité se diffuse jusque dans les plus profondes provinces françaises.
Les casseurs, les cambrioleurs, les braqueurs se servent de leurs lieux de résidences comme de refuges et ils se sont organisez d’autant mieux suite à la chute des gouvernements, leurs slogan « un pour tous, tout pour moi. »
Ils sont armer et organiser ayant, après l'éclatement du bloc de l'Est, eu accès plus facilement à des armes lourdes : des fusils d'assaut, des grenades, des explosifs... Ils ont donc acquis l'argent et les outils pour monter en gamme et en force.
Les garçons d'une trentaine d'années sont les caïds. Ils appartiennent à la deuxième génération, âgée aujourd'hui de 25 à 35 ans. Ils ont mis la main dans les trafics, les petites mains ont entre 10 et 15 ans pour guetter l'arrivée de leurs proies. Deuxième strate, 15-22 ans, ils sont revendeurs, vers 25 ans, ils basculent dans la dernière tranche des vrais caïds qui rejoignent la grande criminalité. Ils ont une hiérarchie pyramidale, avec un chef, des lieutenants et des hommes de main. Régnants en seigneurs féodaux sur leur territoire.
Ils 'attaqueront avec de gros risques si il le faut et n'hésitent pas à faire preuve d'une violence extrême, ils ont la gâchette facile, sont polyvalents et se livrent à toutes les bassesses, du vol avec violence en passant par le meurtre et aux trafics divers cherchant sans arrêt de nouveaux créneaux afin de permettre leur survie et leur plaisir. Ils sont motivés par le gain. Ils ne pensent qu'à faire du business et à leur survie.
Les vols à main armée, les braquages, le transport de fonds, les vols de marchandises sont sans limites.
Les Motards
Tout commence au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, en Californie, lorsque les anciens combattants rentrés chez eux cherchent à retrouver le grand frisson au guidon de leurs Harleys ou de leurs Indians. On assiste à la création des Booze Fighters, des Market Street Commandos et des Pobos , elles sont les premières bandes de motards à affirmer haut et fort leur volonté de vivre en marge de la société établie. Bastons et beuveries sont monnaie courante. Mais jusqu'à la fin des 60 les activités de ces bandes ne sont pas encore centrées sur le crime organisé. C'est au cours des 70 que le phénomène se durcit, pour mieux se "professionnaliser" dans les années 80 et jusqu'à aujourd'hui. Les bandes s'emparent rapidement d'une activité florissante qu'elles ne lâcheront plus : le marché ô combien lucratif de la drogue.
Comme tous les gangs, ils entretiennent des codes vestimentaires, blouson brodés a l’effigie du gang et de la ville, des brassards, T-shirt. Les gangs sont composés de "chapitres" (association) un peu disposés dans le monde.
Ils ont des bons contacts avec le milieu du crime mais ne se disent pas raciste malgré leurs alliances aux aryens.
Voici quelques gangs de motards pour votre inspiration :
- Les Outlaws
- Les hells Angels
- Les Bandidos
- Les Pagans comp
Leur grande mobilité, leur polyvalence et leur rage leur a permis de survivre à la chute du monde moderne le trafic de stupéfiant fonctionnent encore bienmais on en compte de plus en plus à cheval ! Le carburant ce fait rare...
Les SkinHeads
La mouvance des skinheads est profondément divisée et hétéroclite, difficile à départager, d'autant plus que les codes vestimentaires sont similaires malgré des tendances politiques très différentes.
Présents partout dans le monde ils refusent en général toute récupération politique et rejettent toute aliénation à une idéologie politique ou syndicale. Toutefois, cela ne signifie pas que ces skinheads sont dépourvus de conscience politique. Bien au contraire. En réalité, ces derniers n'ont tout simplement pas envie de mélanger musique et culture skinhead avec politique. Souvent patriotes, les skinheads non-politisés ne sont pas pour autant unis. Ceci s'explique par des sensibilités politiques hétéroclites.
Au gauche, l’origine…
Trojan skinheads : Ils perpétuent l'esprit de 1969, fans de reggae, de soul, de rocksteady et de ska, , ils ne mêlent guère musique et politique mais affichent un antiracisme et un antifascisme sincères et revendiquent leur appartenance à la working class (classe ouvrière). Ils sont, au sens historique, les vrais continuateurs de la première vague skinhead.
Skinheads chrétiens : Il ne faut pas les confondre avec les skinheads identitaires ou les jeunes nationalistes, proches des milieux intégristes. Si le discours de ces punks et skins chrétiens sonne parfois conformiste, voire réactionnaire, leur positionnement est ouvertement antiraciste, antifasciste et working class. A suivre...
Redskins (Peaux rouges) : skinheads communistes. À l'origine ce ne sont pas des skinheads mais des fans d'un groupe de soul anglais des années 1970, The Redskins rapproché du style skinhead originel en conservant quelques particularismes : bomber retourné côté doublure orange, lacets rouges, insignes communistes divers... Dans les années 1980 en France les redskins ont combattu les boneheads sur leur propre terrain, la rue (époque des "chasseurs de skins [nazis]"). Certains redskins ont un temps constitué le service d'ordre des concerts des Béruriers Noirs.
SHARP Skinheads : Skinheads Against Racial Prejudice (skinheads contre les agressions raciales) ou Skinheads Against Racist People (skinheads contre les racistes). Le mouvement est apparu à New York vers 1980 puis a été acclimaté en Europe par les membres du groupe britannique The Oppressed. Cherchant à réaffirmer le lien entre la culture skinhead et la classe ouvrière (working class), donc ses valeurs : fraternité, solidarité, lutte sociale, rejet viscéral de toute forme de racisme ou de fascisme... Le logo Sharp reprend le casque de guerrier grec du label Trojan.
RASH Skinheads : Red and Anarchist Skinheads. Le RASH, surtout européen, regroupe depuis les années 1990 d'anciens redskins de la première vague et de nouveaux skinheads engagés à l'extrème-gauche. Les membres considèrent leur appartenance au mouvement skinhead comme un complément de leur engagement militant. Le positionnement à l'ultra-gauche des skinheads rash ne fait cependant pas l'unanimité au sein de la scène skinhead antiraciste et antifascsite et certains les renvoient dos à dos avec les néonazis.
Et au milieu qu’est ce qui ce passe ?
Les hooligans :
Beaucoup de skins nationalistes se recrutent dans les rangs des supporters-hooligans. Mais il est abusif d'affirmer que tous les supporters de football sont forcément des hooligans, ni ceux-ci des séides de l'extrême-droite! Le football faisait partie de la culture skinhead d'origine, sans coloration politique. Les hooligans sont ne sont pas forcément nationalistes ni racistes. En fait le terme est passe-partout.
Il y a aussi des skinheads apolitiques :
Il considèrent le fait de n'être ni fascistes, ni racistes comme quelque chose de naturel et, qu'en temps que skinheads, ils n'ont pas à se justifier continuellement. On les appelle sobrement les apos et ils sont au centre d'une grande controverse. Leur philosophie se résumerait aux trois B du hooligan : « bière, baston, baise ». Pour certains skineads apolitiques le mouvement doit rester ce qu'il était au départ : une mode de jeunes voyous qui rejettent tout engagement politique à gauche comme à droite. Les skinheads sharp et rash les suspectent de sympathiser avec les boneheads au nom d'une communauté skinhead. Si certains ont effectivement des relations douteuses, la plupart n'ont tout simplement pas envie de mélanger musique et militantisme politique.
Et Très à droite ?…
Les lacets blancs sont-ils une marque d'appartenance à l'extrême droite ? A priori non, mais certains skinheads nationalistes en ont fait un signe identitaire. De nombreux punks et skinheads ni fascistes ni racistes ont porté des lacets blancs pour l'esthétique. Mais aujourd'hui ces-derniers représentent pour beaucoup l'idéologie raciste, le white power (« le pouvoir à la race blanche »). Dans certains groupes musicaux, les lacets blancs sont le signe distinctif de ceux qui ont déjà tué. Le port des lacets blancs chez des punks ou skinheads non racistes apparaît généralement comme une provocation d'un goût douteux.
Skinheads nationalistes et identitaires :
le terme désigne une foule d'individus qui ne s'affichent pas radicalement adeptes de l'hitlérisme mais appartiennent aux différents courants de l'extrême droite, par exemple l'intégrisme catholique. On trouve ainsi des skins nationalistes antisémites et pro-Palestiniens (certains gravitent autour du MNR, d'Unité Radicale et de certains mouvements pro-palestiniens). Ceux-là vont jusqu'à prendre le parti des islamistes pour s'opposer aux Juifs et à Israël dont ils ont la haine chevillée au corps. Ils brandissent le célèbrissime faux "Le Protocole des Sages de Sion" pour étayer leur antisémitisme. À l'inverse d'autres sont anti-arabes et pro-israéliens, c'est-à-dire pro-sionistes! Ces derniers considèrent Israël comme l'avant-garde de l'Occident contre le monde arabo-musulman dont il faudrait à tout prix se défendre. Les membres du GUD (Groupe Union Défense), souvent recruté sur les bancs des facultés de droit, se rattachent à cette mouvance. Plutôt que skinheads, terme connoté voyou, beaucoup se font appeler "jeunes nationalistes".
Boneheads :
Skinheads nationalistes ouvertement nazis. On parle aussi de naziskins. Ils sont très actifs et regroupés dans diverses organisations telles Blood and Honour, Hammerskins ou Combat 18 (groupe terroriste clandestin, ils sont organisés en réseau avec d'autres organisations d'extrême-droite comme le Ku Klux Klan. Le look bonehead se distingue un peu du look skinhead originel : paramilitaire, les cheveux sont généralement rasés à blanc. Les insignes sont la croix gammée, les écussons de la LVF ou de la division Das Reich, la croix celtique, les galons de la Wehrmacht ou de la SS... La symbolique germanique, viking ou celte est souvent utilisée par les bonheads qui marquent ainsi leur rejet des valeurs judéo-chrétiennes et prônent un retour au paganisme indo-européen. Les bonheads se reconnaissent grâce au sigle NS (national-socialiste, c'est à dire nazi), généralement accolé au nombre 88 (pour HH, huitième lettre de l'alphabet et initiales de "Heil Hitler").
En résumé ses groupes sont toujours présent dans le monde de Survival, Ils sont organisés peuvent être sociable ou non mais chercheront souvent à commercer avec les égarées ou les différents milieux criminels qui les embauchent sous différentes conditions.
Les religieux :
On assiste à une recrudescence de la religion suite à la contagion les morts vivant étant vues comme un signe avant coureur de l’apocalypse, la plupart des gangs comptent plusieurs prêtre dans leurs rangs, de nombreux sont converties mais une bonne partie continue a ne croire qu’en leur rage de vivre. L’église chrétienne, coranique, protestante etc… existe toujours mais de manière assé disparate avec des prêtres ayant souvent beaucoup d’influence sur leurs disciples.
Les sectes :
Le mot secte désigne un ensemble de personnes partageant une même doctrine philosophique, religieuse, ou un groupe de fidèles s’étant détachés de l'enseignement officiel d'une religion créant ainsi leur propre doctrine. Elle désigne un groupe ou une organisation, ayant en général une symbolique religieuse aux comportements jugés obscurs ou malveillants par le reste de la société. Bridant les libertés individuelles de leurs fidèles en les manipulant de manière psychologique et mentale, s'appropriant leurs biens et les maintenant sous contrôle. Il est courant de voir des chefs de gang ayant pour bras droit un prêtre ou que ce soit tout bonnement le prêtre le chef de gang.
L’armé :
Les forces armées représentaient les différentes organisations et moyens militaires de l’État et se consacrait à la mise en œuvre de sa politique de défense. Sa mission première était d'assurer la sécurité de l'État, la défense de ses intérêts et la protection de ses populations et territoires vis-à-vis d'une menace extérieure, elle participait également à la mise en œuvre d'autres politiques publiques : politique étrangère, sécurité intérieure, sécurité civile, santé publique, sauvegarde maritime, protection de l'environnement...
Pris dans le maelstrom de violence et de guerre civile engendrée par l’épidémie a fini par mettre à mal et à anéantir l’armée telle que l’on peut l’entendre. Malgré des tentatives courageuses d’extermination de la horde de morts vivants de petit groupes se sont organiser en milices armées et compétentes, ils sont armés et dangereux, leur force, des vétérans compétents entrainez à la survie dans de nombreuses situations. Ils ont créés de nombreux camps fortifiés et cherchent un moyen à une contre offensive…
L'armée pour une fois n'est pas dans le coup. Mais elle a pris ses dispositions, elle fait des tests à grande échelle sur de nombreux « cobayes » et essai de tirer le meilleur, comme le pire du vaccin, elle fait des expériences sur de nombreuses personnes et de nombreux zombies ayant différents groupes sanguins. L’armée essai de comprendre comment leur rendre leur humanité, si c'est encore possible aux sujets les plus réceptifs, mais qui sont aussi les plus agressifs. D’autres tests bien plus inquiétants sont aussi en cour.
L’armée recrute encore et toujours, elle offrira de la nourriture et le couvert après une prise de sang et quelques analyses et bien plus si nos aventuriers décident de s’engager.
Si vous êtes d’un groupe sanguin rare, malheur à vous, vous risquez de vous faire embarqué de force et de subir de nombreuses expériences plus désagréables les une que les autres…
Les fermiers :
Autrefois de paisible travailleurs s’occupant de leurs champs et de leur bétail ils se sont regroupez en communauté, ils possèdent une organisation souder et puissante, ils ont des véhicules, du bétail, de la nourriture,. Ils sont rompues à une vie de labeur et à la chasse, ils possèdent des carabines et des fusils, des petits malins se sont déjà frottés à eu mais qui si frotte si pique ! Les moissonneuses batteuses ont été mises à profit mais plus seulement pour faire les blés, les meutes de zombies l’on vite comprit, quant aux gangs ils ont de mainte foi été repoussés ! Les corps de fermes ont été fortifiés les gangs appellent ces bâtiments les manoirs ou forteresses. Ils ne rechigneront pas à accueillir des âmes perdue afin de faire du troc, ils échangeront en général du carburant, des munitions, de l’alcool et des cigarettes contre de la nourriture.
